La plus récente édition de la revue Relations (no 765, juin 2013) a pour thème principal Cap sur la décroissance. Le Devoir publie quelques extraits d’un texte d’Éric Pineault, professeur au Département de sociologie de l’UQAM, nous éclairant sur les transitions qui s’annoncent.
4 réponses
S.v.p. commenter sous votre vrai nom.
La décroissance monétaire passe par une décroissance de l’état et de ses taxes.
On devrait pouvoir payer ses taxes par des heures de travail pour la communauté ou pour la municipalité (exemple bibliothèque) ou commission scolaire (surveillance) l’argent versé à l’état est notre principale dépense monétaire et nous oblige à courir après l’argent. Tous les organismes étatiques sont payables seulement avec de l’argent si on a un revenu monétaire, on doit payer l’impôt, un cercle vicieux.
@ Marc Guy,
L’alternative que vous proposez, quoi qu’intéressante, me semble ingérable.
Ça va décroitre tout seul… Lorsque nous seront à cours de « planètes ». Oui je la met au pluriel. Actuellement il semblerait que nous dépensons quelque chose comme deux planètes terre en ressources humaines et matérielles pour soutenir notre rythme de croissance infernal. Éventuellement nous seront à cours de ressources et la décroissance se produira d’elle-même, par le plus total des automatisme.
-Lorsque le dernier arbre sera coupé, et le dernier poisson pêché, l’homme blanc réalisera que l’argent ne se mange pas. -Proverbe Algonquin.
Ça vous fait marrer ? Avez-vous vu un seul papillon Monarque cet été ? Non ? Et bien oui ils sont éteint : Changements climatiques et disparition d’habitat.
la decroisance va commencer par l’economie comme la ville de Detroit l’argent utiliser aujourd’huit est sans valeur
voir http://minarchiste.wordpress.com/2013/08/22/pourquoi-revenir-a-letalon-or/