Une réponse

  1. Ju
    Ju 4 septembre 2017 à 20:05 | | Répondre

    Citation: « À un autre niveau, le simplicitaire questionnera la motivation d’entreprendre des travaux. Lorsque ceux-ci ne sont pas requis par l’usure, un bris ou un sinistre, qu’est-ce qui nous pousse à changer de décor ? »

    C’est exactement la question que je me pose tout le temps (ainsi que définir les limites des travaux) .. surtout lorsque que beaucoup de choses sont en bonne condition?

    Les gens ont un problème de réflexion je considère, avec toutes les émission de décoration et de rénovations mixés avec l’obsession de « rehausser le prix de la propriété » ou de conserver une dette indéfiniment avec un taux d’intérêt bas. Il y a aussi pour beaucoup de gens des enjeux de prestige et de paraître, la culture américaine du renouvellement… bien ancrée en nous avec toutes les valeurs autour pour faire « rouler l’argent » Il faut être fort dans la tête pour réussi à se délier.

    Pour moi nous sommes au bout du rouleau d’un système de gaspillage complètement désuet. En fin du compte c’est le simplicitaire qui sera gagnant en étant immunisé au besoin d’excès.

    ========

    Par rapport au texte ci-haut moi je suis vraiment d’accord avec ce qui est écrit, adopter un décor plus classique, c’est tellement évident, avec une main d’œuvre de qualité, de l’ingénierie/planification de qualité et autant que possible, des matériaux de qualité. Produire des ouvrages simples mais bons et faciles à réparer sois même.

    Faire le plus de travaux soi-même avec une planification de qualité pour éviter que cela ne devienne un fardeau ingérable, partitionner clairement ce qui peut être fait par le proprio et ensuite par l’entrepreneur.

    Je suis content d’avoir le ce texte ci-haut qui me fait réfléchir et connecter au bon sens, donc merci auteur(e) inconnu.

    (Super les textes des simplicitaires.)

S.v.p. commenter sous votre vrai nom.

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