6 réponses

  1. Jocelyne Dubeau
    Jocelyne Dubeau 14 mars 2018 à 13:16 | | Répondre

    Bonjour. Je suis une dame de 61 ans et je vis a Québec. Je suis simplicitaire depuis plusieurs années. Quand je suis sur la route et que je regarde tout se qui m’entoure,je capote bien raide. Réellement,ça me fais peur. Toutes ces grosses constructions qui montent partout. Tant de commerces,de bureaux,de condos. Je me dis (a-t-on besoin de tout ça). Réellement,ça me fais peur.Ma ville que j’aime depuis toujours est en train de devenir laide. Elle n’a plus rien a voir avec la ville de mon enfance. Je suis si triste. A la retraite de mon conjoint,on s’en va en campagne et j’ai tellement hâte!

  2. Dominique Boisvert
    Dominique Boisvert 14 mars 2018 à 14:22 | | Répondre

    Excellente recension, Serge. Merci de nous l’avoir fait connaître.

    Ce n’est pas très réjouissant en effet. Mais venant de l’optimiste Jean Lemire, ça a du poids.

  3. yoscha
    yoscha 16 mars 2018 à 15:38 | | Répondre

    Merci beaucoup !Ça a déjà bien commencé.

  4. Nicole friolet
    Nicole friolet 18 mars 2018 à 09:41 | | Répondre

    Ça semble très intéressant à plusieurs ponts de vue. Je crois qu’il faut se procurer ce livre pour avoir une idée claire, précise de l’état de notre planète. En même temps de découvrir comment Jean Lemire, grand scientifique, est ébranlé par l’inaction de nos dirigeants face aux changements climatiques majeurs.

  5. Ghislaine Lévesque
    Ghislaine Lévesque 10 mai 2018 à 15:36 | | Répondre

    Les consciences ne sont pas ouvertes. Les Humains n’ont même pas idée qu’ils se meuvent dans un monde d’illusions. Même si les médias nous rapportent les désastres, les misères humaines et le traitement horrible qu’ils font subir aux animaux, les Humains n’ont de yeux et d’oreilles que pour l’économie – et là, on ne parle jamais plus d’emploi disponible, le développement – ce qu’on appelle bêtement le progrès, et de mondialisation – qui exploite sournoisement les gens de pays pauvres, etc. Nous n’avons plus d’appartenance, donc pas de fierté à vivre dans une communauté, plus de sentiments de responsabilité envers nos voisins, presque plus de respect en quoi que ce soit. Nous sommes DEVENUS TRÈS PAUVRES nous-mêmes.

  6. Hélène St-Hilaire
    Hélène St-Hilaire 17 octobre 2018 à 07:37 | | Répondre

    Bonjour , je suis une femme de 40 ans et j’habite une petite ville. Depuis 20 ans que je vis simplement. Je capote ben raide aussi de voir tous ces véhicules utilitaires et camions sur nos routes. Les lignées de voitures qui vont chercher leur café jetable à tous les matins. Ces gens se disent, « je remplis mon bac de recyclage, c’est déjà assez »…Cette congestion, à Montréal et autres grandes villes qui s’amplifie d’années en années. Pensez-y, brûler de l’essence à rouler lentement ou pas du tout pour se rendre à son travail dans son gros char, pour payer sa grosse maison et ses gros biens matériels vus dans les publicités….L’avoir est synonyme de réussite dans notre société. Tous ces moutons blancs qui vivent de la même façon et qui se font laver le cerveau à consommer…Noël s’en vient, consommation à outrance et gaspillage une fois de plus! Je ne parle pas de punitions mais de conséquences; quand ces personnes vont vraiment prendre conscience qu’en encourageant ce système économique suicidaire, c’est quand ils vont voir que les conséquences du changement climatique vont vraiment détruire cette façon superficielle de vivre. Pour l’instant, beaucoup dorment encore…en attendant la douche froide…

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