Plusieurs d’entre vous adhèrent à la simplicité volontaire pour les bienfaits qu’elle peut apporter dans leur vie quotidienne. Mais face aux enjeux sociaux, économiques et surtout environnementaux auxquels nous sommes confrontés, de plus en plus de gens croient à la nécessité d’adopter collectivement un mode de vie plus sobre.
Si l’été est fort animé à Montréal avec sa kyrielle de festivals, sur le plan social, le mois d’août sera particulièrement chargé et nous offrira trois grands rendez-vous.
Selon un document publié en 2008 par la Communauté métropolitaine de Montréal, il y aurait à Montréal 25 km carrés de terrains vacants. L’organisme Lande s’est donné pour mission d’aider les citoyens qui le désirent à se réapproprier ces terrains, que ce soit de façon temporaire ou permanente
La semaine dernière, nous étions huit à nous réunir pour dynamiser davantage le Réseau québécois pour la simplicité volontaire. À la fin de la rencontre, il nous est venu l’idée de vous donner des nouvelles de notre Réseau.
Dans un article récent publié sur EcoWatch, Reynard Loki identifie trois des comportements humains les plus dommageables selon lui pour l’environnement mais que nous pouvons aussi modifier. À ceux qui désirent réduire leur impact écologique, l’auteur suggère des gestes somme toute assez simples.
Le film Demain, qui connaît un véritable succès en France (21 semaines à l’affiche, 1 000 000 de spectateurs, César du documentaire de l’année, etc.), sortira au Québec le 27 mai dans 15 salles, dont le Beaubien et Quartier Latin.
Une prise de conscience que notre actuelle société de surconsommation ne peut durer se manifeste désormais chez des gens de divers horizons. Nous vous proposons ici deux documentaires pour alimenter la réflexion à ce sujet.
Le Mouvement québécois pour une décroissance conviviale, le Réseau québécois pour la simplicité volontaire ainsi que des sympathisants ont uni leurs efforts afin de rédiger un mémoire qui sera soumis à l’Office de consultation publique de Montréal, dans le cadre de la consultation sur la réduction de la dépendance aux énergies fossiles.
En cet hiver où les légumes coûtent particulièrement cher dans toutes les épiceries : Taram! Je vous présente ma citrouille de février!
Si la bicyclette fut à ses débuts surnommée la petite reine, l’automobile a été sans conteste la grande reine du vingtième siècle, et son règne se poursuit encore aujourd’hui.
